Un astéroïde de
1,2 kilomètre de diamètre, qui pourrait frapper la Terre le 21 mars 2014, est
actuellement étroitement surveillé par les scientifiques, selon Kevin Yates,
directeur de projet au Centre d'information astronomique britannique.
Quelques définitions :
Cosmologie : est
une discipline de la géologie, consacrée à l’étude de la naissance, la forme,
l’évolution et la mort de l’univers.
Astéroïde : ont pris de naissance à partir
des planètes éclatées, leurs dimensions est plus ou moins importantes et ils se
placent entre les planètes inférieures (ex : Terre, Mars, …) et les
planètes géantes (ex : Jupiter, Saturne,…).
Cet astéroïde d'une masse d'environ 2
600 millions de tonnes et d'une largeur de près de 1,2 km, progresse à près de
30 kilomètres par seconde.
Il a été repéré la première fois le 24 août 2003 par le Programme de recherche sur les astéroïdes proches de la terre (LINEAR) basé à Sorocco (Nouveau-Mexique). Baptisé "2003 QQ47", il a été classé au niveau 1 de l'échelle de Turin graduée de 0 à 10, qui sert à quantifier les risques de collision entre la Terre et un astéroïde. Ce niveau correspond à un "événement méritant une surveillance attentive".
Il a été repéré la première fois le 24 août 2003 par le Programme de recherche sur les astéroïdes proches de la terre (LINEAR) basé à Sorocco (Nouveau-Mexique). Baptisé "2003 QQ47", il a été classé au niveau 1 de l'échelle de Turin graduée de 0 à 10, qui sert à quantifier les risques de collision entre la Terre et un astéroïde. Ce niveau correspond à un "événement méritant une surveillance attentive".
"Il
existe quelques incertitudes sur sa trajectoire", explique pour sa part le
docteur Alan Fitzsimmons, du Centre d'information britannique NEO (Near Earth
Object, objets approchant la Terre). Toutefois, selon lui, "il n'y a pas
lieu de s'inquiéter du tout". Le centre "continuera à vérifier les
résultats des observations" et à suivre l'évolution de l'astéroïde,
précise pour sa part Kevin Yates, l'un des responsables du centre NEO.
La fréquence d'impact d'un objet céleste sur Terre, provoquant des dégâts régionaux et dégageant 1.000 mégawatts d'énergie, est estimée à 64.000 ans. A l'heure actuelle, l'astéroïde 1950 DA représente la menace la plus sérieuse : il y a une chance sur 300 qu'il percute la Terre le 16 mars 2880. Mais les "géo-croiseurs" dangereux ne sont pas toujours détectés à temps. Et quand bien même les astrophysiciens parviendraient à les identifier, "si on prédisait un impact dans dix ou vingt ans, on ne pourrait rien faire" pour l'éviter, prévient Patrick Michel.
Les Etats semblent avoir pris conscience des risques que représentent les astéroïdes et certains ont développé des programmes spatiaux pour mieux les étudier. Mais il n'existe toujours pas de stratégie de défense adéquate (faire dévier la trajectoire de l'objet, utiliser éventuellement une charge nucléaire ), remarque l'astrophysicien français.
Ces recherches d’astronomie sont faites
par des astronomes qui étudient l’univers par des techniques dont les plus
importantes sont les télescopes qui permettent la collecte et l’analyse de la
lumière, des étoiles, des rayons électromagnétiques, des ondes radio, de
l’infra rouge, et des rayons X.
-Référence:
-Auteur : AMACHNOUG Hamid

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